Differentes fiches personnages
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
-26%
Le deal à ne pas rater :
Bosch BBS8214 Aspirateur Balai Multifonction sans fil Unlimited ...
249.99 € 339.99 €
Voir le deal

Exquise tourmentation.

Aller en bas

Exquise tourmentation. Empty Exquise tourmentation.

Message par Kiranide Lun 18 Juil - 19:04

L’eau s’éclatant vigoureusement contre les pierres abimer par les nombreux passages d’une mer agitée faisait planer une atmosphère calme et paisible lorsque l’aurore se transforma en crépuscule. Peu de gens était dehors en cette période de l’année, seul les quelques tavernes de la cité d’Opale étaient agitée par la foule appréciant la chaleur et l’alcool de celles-ci. Bientôt, lorsque le soleil laissa place à la lune et que seul les saouls et les gardes était réveiller, un cliquetis d’armure lourde se présentât non loin du port. L’eau salé de la mer du tourment particulièrement agitée en cette soirée amener une odeur enivrante et paisible. Le bruit de cette armure était plus que reconnaissable. C’était celle du Compte [truc muche] se promenant accompagné de son maître d’arme. Il avançait d’un pas assurer jusqu’à une bâtisse de bois usée par le temps et le visible manque de ressource financière servant à entretenir celle-ci. Le gantelet de fer qui entourait la main robuste et forte du compte vint frapper fortement contre la porte de cette maison haute et très peu convenable pour une personne de son rang. Il attendant patiemment une réponse visiblement vaine. Et contre tout attente un léger bruit de grincement de bois vient ouvrir la légère porte de bois qui surplomber la maigre bâtisse. Une jeune femme accompagnée d’une bougie éclairas le visage triste et fatigué de celle-ci. Peu de couleurs était visible sur son visage et seul ses yeux bleues et ses cheveux brun et frisés venait déposer un peu de gaîté sur son physique peu repoussant. Elle le regarda, levant les yeux pour contempler son regard remplis de désir et de remords. Il entrât baissant la tête pour ne pas toucher le haut de la porte. Le maître d’arme tourna les talons, les laissant seul cette femme et lui. La porte se refermât doucement derrière eux. La bâtisse repoussante de l’extérieur était remplie d’un charme et d’une douceur incomparable à l’intérieur. La cheminée ne laisser plus que des braise alimenter la chaleur de la maison décorée de façon neutre mais accueillante. Elle retira l’armure du compte comme si elle en avait l’habitude. Sous son armure, il était vêtu comme un noble gentil homme. Sa carrure imposante et ses épaules développé exprimer un dur labeur. Il la regardait de ses yeux profond et sincère. Son iris marron clair était synonyme de bienveillance et d’un charme incomparable. Ses cheveux ébouriffer et brun était la marque de fabrique de la famille.

La jeune femme prit une grande inspiration, comme pour se rassurer et lui dit d’un ton inquiet et triste :

« Qu’est-ce que tu fais là ? Tu ne devrais pas être ici. 
Tu m’as quittée, et j’étais malheureux. J’ai commis une erreur, une seule fois.
Je ne veux pas parler de ça. Tu as trompé ta maîtresse avec ta petite amie inutile de t’ex…
Ce n’était pas ma petite amie, et je ne t’ai jamais considéré comme ma maîtresse, tu le sais très bien Esmé, ne dit pas ça. »

Elle le regarda, prenant de plus en plus de recul. Elle le fixait et seras ça mâchoire :

«  Pourquoi est-tu venus ici ? » Après un long moment il lui dit enfin :
« J’ai reçu cela au manoir, je veux que tu le lise.
Non, il en est hors de question, je n’ai aucune envie de savoir dans quel problème tu es encore.
Esmé ll faut que tu lises ça. »
Elle fronça les sourcils.

«  Cher Compte [truc muche],
Nous savons pour votre relation passée avec Esmé, et nous vous demandons de ne plus la voir, jamais. Elle n’est pas du même rang que vous, vous n’êtes pas fait pour elle. Nous protégeons la haute noblesse depuis des années et nous ne vous laisserons jamais vous mariée à une simple paysannes. Prenez cela comme une lettre de menace, si nous apprenons que vous la voyais de nouveau ou que vous essayez de la joindre, nous interviendrons d’un point de vue politique. Si vous ne voulez pas qu’il vous arrive du mal ou qu’il lui arrive du mal, arrêter votre mascarade auprès du peuple. Dois-je vous rappelez que vous êtes marié ?
Faites attention, les Dieux vous regarde. »

Elle releva sa tête de ses mots arrachant et blessant. Elle contenu ses larmes, sa colère et sa rage et prit une grande inspiration. Elle ferma les yeux et serra les poings.

« Tu as reçu ça ? Dans ta boîte à lettres ? » Sa voix n’était pas calme, elle tremblait de mépris.
«  Quelqu’un sait se que nous faisons depuis deux ans... Mais... Mais pourquoi avoir attendu aussi longtemps ?
- Avant... Tout ce qu’ils avaient était une liaison, ils savaient pour la liaison mais... Ils leurs fallait une fille. »

Les heures passèrent et ils ne décrochèrent pas un mot. Le compte se tenait devant la fenêtre de la maison, songeur, inquiet, il contemplait la vue des différentes maisons aux alentours, [] le regardait, elle attendait, quoi ? Elle ne le savait pas elle-même mais elle attendait quelque chose. Elle dit alors, avec regret :

«  Il faut que tu retourne au manoir avant que tout le peuple ne rapplique.. »

Il sourit, regardant ses vêtements, les essuyant quelque peu, et regardât autour de lui, le soleil venait de se réveiller et les rayons rentrèrent de la maison, lui donnant un aspect plus intime encore. Il tournât sur lui-même regardant tout autour ne désirant guère en perdre une miette. Il récupérât sont armure, la prenant sur son bras.

«  Je me suis imaginée ta maison tellement de fois, ça me plait. C’est très… Toi.
- Oui, elle sourie, hm, un des avantages du célibat. »

Elle se levât, et le regardant droit dans les yeux, cela durât un moment, ils s’échangèrent une complicité sans nom, ils s’aimaient…

«  Je devrait y aller.
- Tu devrais y aller. »

Et ils se regardèrent, remplis d’amour, d’envie, de désir mais d’interdiction, ils se regardèrent et oublièrent tout ce qu’il y avait autour d’eux, la maison, le peuple le rang… Et ils se sourirent mutuellement. Il soufflât, et la contemplait de plus belle :

«  Juste un instant...
- Oui… Juste un instant »

Il lâcha sa lourde armure qui tomba au sol, elle sourit, puis ils s’acière tout deux sur les fauteuils confortable, elle dépose sa tête sur son épaule, doucement, tendrement, puis, il l’enveloppa de ses bras rassurant, de ses mains robustes il caressa son ventre les entourant de sa taille et déposa son menton sur sa chevelure brune, elle ramenât ses jambes sur le fauteuil, puis, enroula elle aussi ses douce main fétiche autour de sa robuste taille tout en descendant sa tête sur son torse, ils fermèrent les yeux mais on pouvait lire sur leur visage la tristesse, la mélancolie, et il l’enveloppa de plus en plus autour de ses bras, il lui murmura dans un souffle " je taime ", et elle ouvrit les yeux, déglutit et elle se mit a pleurer, ravalant sa salive, son corps battait si fort qu’il résonnait dans tout son être, et il était là, la protégeant tel un père avec son fils, tel un Marie avec sa femme. Ils se regardèrent les yeux triste, il passât une main sur son doux visage, et elle se releva, ramassa son armure, la lui mis puis il se tourna, la regardant de nouveau avec ses yeux sincère et franc, et il lui dit :

«  Au revoir Esmé
- Au revoir, monseigneur. »
Kiranide
Kiranide

Messages : 4
Date d'inscription : 07/12/2015

Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut


 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum